Atteinte de sclérose en plaques, elle court pour repousser la maladie
Posté : 25 mars 2018, 12:41
Atteinte de sclérose en plaques, elle court pour repousser la maladie
La Voix du Nord - Jennifer-Laure Djian | 25 mars 2018
Elle a été diagnostiquée en avril 2016, après des fourmillements dans le bras, la jambe gauches. Son médecin a tout de suite compris, Sophie Bosquet a mis plus de temps à réaliser. Après deux traitements qui ne lui convenaient pas, elle a décidé de ne plus avaler son traitement, un comprimé par jour. Elle court, pour repousser sa sclérose en plaques.
En avril 2016, les médecins diagnostiquent une sclérose en plaques à Sophie Bosquet. Elle commence à prendre un premier palliatif, « un cachet tous les jours. Les effets secondaires, je les ai tous eus ». Un deuxième, « j’ai choisi d’arrêter. Prendre un cachet tous les matins, c’était me répéter tous les matins que j’ai ça ».
Sophie a choisi d’adapter son régime alimentaire. « Pas de gluten, de viande rouge, des aliments riches en oméga 3... » Et de courir. Son frère, coach sportif, a supervisé ses premiers entraînements.
Et puis Sophie Bosquet a croisé la route de la Team trail audomarois. « C’est une belle équipe, confie-t-elle. On fait chacun des choses dans notre vie mais l’entraînement du jeudi soir, c’est sacré. »
(...)
Sa maladie, « ça peut être gênant, je sens la fatigue, les pertes de concentration ». Courir lui fait prendre l’air, après une journée de travail. Son rythme est intense, trois sorties par semaine, plus le renforcement musculaire.
Malgré la sclérose en plaques, Sophie positive. « Pour l’instant, j’ai de la chance. J’espère que j’en aurai encore longtemps. »
Article intégral avec photo
La Voix du Nord - Jennifer-Laure Djian | 25 mars 2018
Elle a été diagnostiquée en avril 2016, après des fourmillements dans le bras, la jambe gauches. Son médecin a tout de suite compris, Sophie Bosquet a mis plus de temps à réaliser. Après deux traitements qui ne lui convenaient pas, elle a décidé de ne plus avaler son traitement, un comprimé par jour. Elle court, pour repousser sa sclérose en plaques.
En avril 2016, les médecins diagnostiquent une sclérose en plaques à Sophie Bosquet. Elle commence à prendre un premier palliatif, « un cachet tous les jours. Les effets secondaires, je les ai tous eus ». Un deuxième, « j’ai choisi d’arrêter. Prendre un cachet tous les matins, c’était me répéter tous les matins que j’ai ça ».
Sophie a choisi d’adapter son régime alimentaire. « Pas de gluten, de viande rouge, des aliments riches en oméga 3... » Et de courir. Son frère, coach sportif, a supervisé ses premiers entraînements.
Et puis Sophie Bosquet a croisé la route de la Team trail audomarois. « C’est une belle équipe, confie-t-elle. On fait chacun des choses dans notre vie mais l’entraînement du jeudi soir, c’est sacré. »
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Sa maladie, « ça peut être gênant, je sens la fatigue, les pertes de concentration ». Courir lui fait prendre l’air, après une journée de travail. Son rythme est intense, trois sorties par semaine, plus le renforcement musculaire.
Malgré la sclérose en plaques, Sophie positive. « Pour l’instant, j’ai de la chance. J’espère que j’en aurai encore longtemps. »
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