Rions le 22.05.06

Un bon coup pour le moral !!!
Merci à mon Christounet de t'en occuper si bien...
christian

Rions le 22.05.06

Message non lu par christian »

Un homme d'affaires se met en colère : - Mademoiselle Laura, dit-il, je n'aime pas les secrétaires qui interprètent mes paroles. Je vous prie donc de noter mot pour mot ce que je vous dis. Et le soir, la jeune fille lui donnait à signer le texte suivant : « Cher ami... Non... je ne vais pas appeler "Cher ami" ce bandit, ce forban, cette crapule... Mettez "Cher confrère...". « Vous avez une triste façon de comprendre la probité commerciale... Non... N'écrivez pas cela... Je ne veux quand même pas lui dire en face que c'est un voleur... Rayez et inscrivez : Votre dernier envoi de sodas était... Passez-moi votre briquet... Zut ! J'ai perdu le fil ! Ah ! oui... était absolument imbuvable. On aurait cru de l'eau de vaisselle... Baissez un peu votre jupe, mademoiselle, je vois votre culotte rose... Qu'est-ce que je disais ? Si, cela se renouvelle... Pouah ! ce cigare est infumable... Je serai forcé de m'adresser à un de vos concurrents... De toute façon, ce sera la même bibine... Bon, allez, j'ai faim... Vous l'assurez de ma considération distinguée... A la bouffe ! A la bouffe ! ».

- Mon cher Durandot, dit un charmant patron à l'un de ses employés, vous avez très bien fait de venir me trouver pour exiger l'augmentation à laquelle vous pensez avoir droit. Laissez-moi, je vous prie, un peu de réflexion. Vous aurez ma réponse demain matin, en recevant une lettre recommandée avec accusé de réception, vous informant que vous êtes foutu à la porte.

Un candidat à une place a présenté son C.V. A présent, il brosse un portrait de lui-même, devant le responsable des ressources humaines. - D'abord, j'ai une excellente mémoire. Je suis ordonné, précis, rigoureux, acharné au travail... Ah ! et puis, aussi, je ne me rappelle plus si je vous l'ai déjà dit : j'ai une excellente mémoire.

Dans une grande administration, un employé fait une quête : - C'est pour qui ? questionne un de ses collègues. - Pour Sophie, la secrétaire aux seins provocants du bureau du contentieux. - Elle se marie ? - Au contraire ! C' est le seul moyen qu'on ait trouvé pour la décider à demeurer célibataire et à continuer à nous réserver ses week-ends.

Un patron explique à ses collaborateurs : - Je n'ai jamais eu tort, dans ma vie. Sauf une fois, en 1973. Pendant un moment, j'ai bien cru que j'avais fait une erreur.

- Mon mari, raconte une dame, aime, avant tout, être tranquille. C'est pourquoi il a fait planter une haie de thuyas... - ... Dans votre jardin ? - Non. Au milieu du bureau qu'il partage avec un collègue, au ministère.

Dans une entreprise, une secrétaire dit à une de ses collègues : - Toi, l'idiote, tu t'es encore servie de mon ordinateur. - C'est vrai, mais à quoi t'en es-tu rendu compte ? - Aux traces de Tippex, un peu partout, sur l'écran.

En recevant un employé pour l'entretien préliminaire à son renvoi, le directeur des ressources humaines lui dit : - Vérification faite, vous avez raison quand vous soutenez que, le mois dernier, vous n'êtes pas arrivé en retard tous les matins. Les 2, 3, 6, 11, 19, 20, 23, 25, 26, 27 et 31 du mois, vous n'êtes effectivement pas arrivé en retard. Votre femme avait téléphoné pour dire que vous ne vous sentiez pas très bien et que vous ne viendriez donc pas au bureau.

Prenant son courage à deux mains, une jeune secrétaire très timide va trouver son patron pour lui demander une augmentation. - Monsieur le directeur, lui dit-elle, voilà maintenant cinq ans que je travaille ici à un salaire de famine et, à chaque fois que vous avez exigé de moi que je me glisse sous votre bureau pour vous faire une petite faveur, jamais je n'ai élevé la moindre protestation. - Vous posez mal le problème, mademoiselle, répond le directeur. En réalité, considérez bien que si, malgré votre nullité, sur le plan professionnel, vous avez passé cinq ans dans cette maison, c'est parce que vous n'avez jamais élevé la moindre protestation.

Le chef de service vient rendre visite à l'un de ses employés, hospitalisé. - Surtout, lui dit-il, ne vous tracassez pas pour votre travail. Votre collègue, M. Martinot, a bien voulu se charger de le liquider en plus de son travail habituel - mais il lui fallait du temps pour cela. 11 a dû sacrifier sa pause-café.
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