Hellolélé
Mon message perdu allait dans le même sens que celui de linette.
Le mot passion est too much, et ça laisse beaucoup d'entre nous dans une espèce de culpabilité de ne pas en avoir.
En fait, ce qui est intéressant, c'est de comprendre pourquoi ta psy, a dit ça.
J'ai ma petite idée, là dessus.
Le cerveau est un outil très sophistiqué, mais qui aime avant tout la répétition.
Il fera tout, si on le laisse faire, pour ce mettre à faire un copié/collé et répéter en boucle, ce qu'il connaît déjà.
IL réagit comme ça par confort, par fainéantise et cherche toujours dans son logiciel passé, avant de se lancer dans une nouvelle appréhension des choses.
Une fois qu'on sait comment il fonctionne.On comprend mieux pourquoi, on nous conseille de se trouver une passion.
C'est pour le satisfaire positivement.
Si je prend une activité comme le tricot. Tu prends ton aiguille , tu piques ta maille, tu passes ton fil, et tu ramènes ta maille sur l'autre aiguille ....et tu recommences
C'est une boucle sans fin, qui rassure le cerveau.
Ça marche avec le patchork, avec le macramé , en fait ça marche avec beaucoup de passion.
J'aime la cueillette des champignons et en boucle, je regarde, soulève les feuilles, tombe sur un champi, m'exalte et recommence.
Pour les activités sportive , c'est la même chose, avec une implication physique supplémentaires.
Sii on ne trouve pas moyen de captiver son cerveau par une boucle positive, il trouvera une boucle quand même quitte à ce qu'elle soit négative.
Et c'est comme ça que peut venir une dépression.
Le cerveau traite une donnée négative et la traite encore, encore, jusqu'à ce que le problème deviennent plus énorme à force d'être ressassé.
La suggestion que ta faite ta psy, est certainement pour détourner l'attention de ton cerveau.
Je n'ai pas de passion, car je me lasse vite, mais comme Patrick où Margot, je passe d'une activité à l'autre
À défaut de passion, trouver des occupations agréables peuvent largement faire l'affaire, Lélé
Bonne soirée
Tchuss